samedi 27 octobre 2012
Marmite sur le feu.
En revenant du Piémont.
En revenant du Piémont, (bis)
Nous étions trois jeunes garçons (bis)
Des écus nous n'en avions guère,
Sans dessus dessous et sans devant derrière
A nous trois, nous n'avions qu'un sou,
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis).
Nous arrivâmes dans un logis : (bis)
« Hôtesse, qu'avez vous de cuit ? (bis)
- J'ai du lapin et des pommes de terre
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et de la bonne soupe au choux. »
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis).
Et quand nous eûmes bien dîner (bis)
« Hôtesse, nous voudrions coucher. (bis)
- J'ai ma chambre sur le derrière
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et la ptite bonne qui couche en dessous. »
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis).
Vers les onze heures on entendit (bis)
L'hôtesse pousser un grand cri : (bis)
« Ah, vous me pétez la charnière !
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Allez-y donc un peu plus doux. »
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis).
Et puis ce fut vers les minuit (bis)
Qu'on entendit un plus grand bruit. (bis)
C'était le lit du d'ssus qui s'foutait par terre
Sans dessus dessous et sans devant derrière
Et la ptite bonne qui baisait dessous.
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
Si vous repassez par ici (bis)
Souvenez-vous du bon logis; (bis)
Souvenez-vous de la bonne hôtesse
Qui remue le cul sans remuer les fesses
Et de la ptite bonne qui remue tout.
Sans devant derrière et sans dessus dessous (bis)
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