vendredi 27 septembre 2013

Problème


Mes amis, je suis désolé mais suite à un déménagement l'activité vanillée a été ralenti pour cause de cartons, mais aussi de manque d'internet.
Car oui, c'est sympa d'avoir une nouvelle niniche mais il faut attendre quelques semaines pour ravoir du bon internet avec toutes les magnifiques images que celui-là comprend.
Je pense que cela va revenir dans la semaine et là on sera vraiment reparti pour une nouvelle année aux saveurs vanille émaillée !
Salucofagos


jeudi 19 septembre 2013

Sparkling cyanide.



Dans la littérature populaire, la reine du crime ne se démode décidément pas. Ses livres vont de rééditions en rééditions et la TNT fait son beurre (ou comble son immense vide) avec ses adaptations télévisuelles.
Agatha Christie est un peu la mamie ou la gentille tata qui nous accompagne pendant notre enfance et même plus tard. Nous sommes tous familier avec ses personnages et surtout son univers, ainsi il n'y a pas plus pratique pour nous en mettre à tous les coins de rues.

D'ailleurs en parlant d'aptation d'Agatha Christie, on a pu voir récemment la trilogie sur pellicule de Pascal Thomas avec Catherine Frot et André Dussolier.

Mon petit doigt m'a dit... (2005)
On découvre le petit monde de cette trilogie aux ingrédients simples : un mélange de rétro et de modernité et un couple moteur plutôt spécial : une femme délurée que l'on a du mal à suivre et son mari qui au final ne fait que de suivre et de composer avec les lubies de sa compagne.
L'histoire originale transposée en France se tient bien et reste fidèle au roman d'origine. Un très bon moment donc.


Le crime est notre affaire. (2008)
Un classique d'Agatha Christie (4:50 from Paddington)  un peu remanié mais l'essentiel est là. Une pléiade de gros acteurs (Claude Rich en tête) qui rendent le film bien sympathique.
Tout comme son prédécesseur, on passe un agréable moment devant cette bonne adaptation.


Associés contre le crime. (2012)
Bon je ne vais pas m'étendre des heures là-dessus, mais là tout s'écroule. Il y a toujours le plaisir de retrouver les deux acteurs principaux mais qu'est-ce que le film est chiant !
Il est long. Tellement long que même Guerre et Paix s'apparente à un épisode de Bref.
En plus, on en comprend rien, ou pas grand chose; c'est assez décousu. Mélangez tout ça et vous verrez ô combien c'est chiant de mater deux heures de ça.
Et puis, il y a forcément la cerise sur le gâteau de la médiocrité : un côté surnaturel aberrant et inutile qui s'allie avec un humour des plus vulgaire ( et non pas grossier ) et affligeant.
C'est un fil aux grosses ficelle et aux gros sabots qui tire un peu trop sur la corde.

dimanche 15 septembre 2013

Battle


Extrait introductif.

Akira, véritable reflet de la jeunesse.

Une puissance visuelle.
Une musique envoûtante. Ici ou là. Ou bien encore ici

Une jeunesse désoeuvrée qui subit les manigances des adultes. Ils subissent également le monde qu'ils leur ont laissé.
Elle perd son temps dans les paradis artificiels.
Elle n'est pas religieuse mais la religion s'immisce car il faut bien croire en quelque chose quand on ne croit même pas en soit.
L'amour est là mais au final il n'est que secondaire par rapport aux évènements. L'amour se construit sur, et grâce a ceux-ci.
Cette rage au fond de nous, toute cette énergie que l'on voudrait expulser.
Cette force qui est difficilement contrôlable et qui peut nous transformer en tout ce que l'on n'est pas; en ce que l'on ne veut pas être.

Toute cette envie de tout recommencer et de tout rebâtir.
Et cette violence : cette violence qui fascine car on ne peut socialement l'exprimer ainsi. Cette violence que l'on vit tous les jours à tout moment.
Cette abandon de l'enfance et cette prise en main de soi que l'on doit effectuer pour affronter le monde entier.

Et cette beauté. parce que oui, Akira (manga ou anime est beau à mourir).
C'est une catharsis. c'est quelque chose qui se confronte à nous, c'est quelque chose qui nous soulève.
Ce passage de l'âge adulte que l'on ne connaît pas et que l'on ne veut plus connaître une fois passé.

Et ce ressentiment pour tout ce que l'on subit. On aimerai bien faire mais cette impuissance qui nous pèse.

Ce si grand besoin de liberté. On le ressentira toujours, si on ne peut l'avoir physiquement on peut toujours s'évader et l'approcher des œuvres comme Akira.

mercredi 11 septembre 2013

Incertitude.


Désolé pour les petits retards mais avec la rentrée et pas mal d'autres problèmes, je n'ai que peu de temps pour écrire et surtout pour avoir l'envie de le faire.
En fait en ce moment, c'est plutôt comme ça : ambiance 1.

Mais dès ce week-end, cela s'améliora grandement et donc entre un retour à la normale pour l'écriture, ça sera comme ça : ambiance 2.
Donc un peu de patience jusqu'à ce week-end et vous aurez de nouveau tout plein d'articles à vous mettre sous les mirettes.
Salucofagos.

samedi 7 septembre 2013

R'hllor.


Je sais que cela tourne pas mal sur le net en ce moment mais je ne peux résister à l'envie de vous faire découvrir ce chef d'oeuvre des temps modernes : Ici.

On remarquera notamment que c'est bien fait pour elle et que tout le monde ricane en choeur en voyant cela.
Cela fait du bien de voir se ridiculiser ces personnes qui ne connaissent pas la honte, mais si on y pense il ne faut pas trop en rigoler non plus car c'est le mécanisme principal de grandes émissions culturelles comme Les Ch'tis à Hollywood, Confessions Intimes etc. Des lieux d'aisance intellectuels où l'on te montre quelques idiots se ridiculiser pendant toute une émission
Moquerie malsaine, revanche, méchanceté, nous n'étudierons pas cela aujourd'hui alors en attendant marrez-vous bien devant cette jeune greluche au fessier littéralement 'on fire'.
Salucofagos.

mercredi 4 septembre 2013

Grillon.


Jovanotti : La notte dei desideri

Je voudrais une maison en Italie.
Une maison aux murs blancs posés sur des tomettes rouges vermillon et la clarté du jour pour tout illuminer.
Dormir la fenêtre et me lever à tes côtés alors que la campagne s'éveille ou que la ville s'anime. Ces senteurs, ces bruits, cette douceur de vivre...
Faire des apéros et des dîners en terrasses jusqu'à pas d'heure.
Pouvoir crier toute la journée parce qu'au final tout le monde le fait.
Travailler ou bien se reposer à la maison en ayant toujours cette légère brise se faufilant entre les pièces et les cheveux.

Bon, je m'emballe peut être un peu mais sans parler de cela, j'ai envie d'avoir des levés comme dans la vidéo, au moins sur cette musique.
Italie ou non, le réveil se fera sur le bon pied et avec le sourire.