vendredi 27 novembre 2009

Et avada kedavra pour toi l'affreux


Si il y a quelque chose d'intéressant avec la violence, surtout exploité avec force au cinéma, c'est le coté oppresseurs/opprimés! Quand des innocents se font maltraités par des vilains (genre un pauvre enfant par le caïd de l'école), l'innocent ne dit rien ou a peur face à la violence du plus fort. Mais c'est après que la véritable violence se déchaîne, toute cette frustration accumulée qui se libère d'un coup avec le bruit et la fureur.
Un peu comme l'histoire de toute les révolutions: la violence est décuplée par rapport à celle initiale qui l'a produite.
C'est un grand sujet des films d'horreurs, surtout pour des "survivals". La clé de beaucoup de films se trouvent d'ailleurs dans le châtiments infligé aux méchants.
Qui n'a jamais rêvé de se déchaîner sur celui ou celle qui lui en faisait voir de toutes les couleurs?
Ce genre d'histoire a une fonction catharsique et est essentielle à notre bien être, car au fond qu'est-ce qui nous empêcherait de flinguer tout ces cons (perso, je préfère le lance-flammes) un jour si jamais on n'a pas réalisé cette catharsis?

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