mardi 17 février 2009

Bravo!!!

Lorsque l'on évoque l'Angleterre, ou plutôt la Grande Bretagne on dit toujours (lorsqu'on est un mâle , un vrai, un tatoué!): "Ah oui, le pays des salopes tout le temps saoulent et habillées en catins!!"
Et bien je ne dirai pas le contraire. Enfin, je ne peux que vous en dire peu sur le coté salope, mais pour ce qui est du coté habillé comme de vilaines cochonnes je ne peux qu'affirmer.
Rien que tout à l'heure, je sirotais ma pinte de Carling (^^ c'est pour toi Thibault!) au bar de mon campus alors que beaucoup de jeunes venaient également mais pour se la mettre, quelque chose de mignon. Forcément beaucoup de filles (75% de l'université). Et comme d'habitude: jupes quand ce n'est pas mini-jupe, décolletés défiant les lois de la gravité et je vous laisse à votre imagination. En tout les cas, comme à chaque soirées sur le campus, un esprit et surtout des yeux suractifs, viroveltant dans tout les sens.
Mais ce soir, c'était le nutella sur la tartine: sur la route de l'immeuble d'un ami, nous trouvâmes une jeune en train d'uriner sur la route, en plein milieu du campus. Elle avait un charme unique. Faisant la position de gymnastique, dite du pont, ou quelque chose y ressemblant fortement, elle urinait. Elle tanguait tel le bateau de Kersauson ivre au Cap Horn; elle maitrisait tellement bien la gymnastique que ses fesses baignaient assez souvent dans la flaque tel le bateau de Kersauson ivre aux Malouines; ses copines se foutaient de sa gueule plusieurs mètres au loin, elles annonçaient à tous ce qui se passait tel Kersauson ivre dans la rade de Brest; et enfin elle nous annonça qu'on était mignon (le reste n'était malheureusement pas compréhensible pour une oreille sobre) et essaya de se relever en bougonnant tel Kersauson sortant de L'Escadrille à Port Joinville.
Bref, après les vomis, amour de jeunesse se pratiquant entre les arbres du campus (avec des options pour le bucalement) et autres pratiques observées dans ce monde étrange, une nouvelle porte s'est ouverte à moi!!!
Vivre en Grande Bretagne, c'est un peu comme faire la guerre: on voit du pays et plus rien ne choque.

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