Il y a des fois dans une vie, où l'on peut ressentir un amour pure, "A Love Supreme". Cet amour n'a que peu de rapport avec Dieu. l'amour que l'on peut ressentir envers lui, ou elle d'ailleurs, est un amour extrême, aussi mystique qu'inexplicable.Non, en fait on peut savoir que l'on aime quelqu'un, aussi réel que palpable malgré tout ce qui pourrait nous y faire renoncer.
On peut aimer une personne malgré notre histoire avec elles, malgré les aléas de la vie et des fois de nouvelles amours. Peut est-ce là le fragile rapport avec Dieu. Savoir que l'on aime quelqu'un malgré tout, mais cet amour n'est pas forcément un amour platonique souvent proche de l'idéalisation ou d'une grande amitié.
Mais c'est bien là que réside le problème: Fera-t'on quelque chose pour vivre, ou revivre cet amour? Les histoires vécues avec elle ou bien la confrontation à une réalité ne fait-elle pas peur?


Bref, avec ça mon regard se tourne une fois de plus sur la condition de dessinateur.
Plus tragique, enfin pour l'amateur de bandes dessinées, Guillaume Sorel (L'île des morts; Typhaon; Mens Magna; Algernon Woodcock etc) a, semble t'il, stoppé son activité pour se consacrer entièrement à l'illustration (chose qu'il faisait déjà depuis longtemps) et à son restaurant.
Tout ses artistes semblent un peu mal en point... Et après on va dire que c'est la faute au téléchargement. Ce qui n'arrivera jamais car un livre restera toujours un livre, alors qu'acheter à des tarifs malhonnêtes des VHS puis des disc, puis des Dvd, puis des Blue ray et puis je ne sais trop quoi pour la même chose cela reste quand même vampiriser la culture pour les grosses compagnies qui méchantes et pas belles. En tout les cas on ne dira jamais que c'est un coups de Bêle et ses chèvres afghanes car elle ne font de mal qu'au mauvais terroristes et aux détonateurs.

Wu le remerçia poliment, avec une gentillesse et une douceur qui, encore une fois, me laissa dans un état second. L'homme nous conduisit dans une grande chambre assez somptueusement décorée et fournie. Tout dans des tons oscillant entre ocre et carmin et cerise sur le gateau, l'homme déclara que cette chambre était "nos appartements".




VNVS (Pour...)


Avant de partir pour le monde enchanté de mon futur, nous prîmes un petit verre de Martini. Nous ne voulions pas réveiller Sandrine, gardienne de la bouteille de Johnny Walker. Elle est si jalouse; d'ailleurs depuis notre dernière rencontre je n'arrive plus à mettre la main sur ma bouteille de vodka. Grace à ce petit moment d'intimité j'appris que les fantômes pouvaient être bon vivants et charmants, et qu'ils pouvaient boire tout à fait normalement sans en mettre partout. Puis au bout d'une boite de Pringles et de deux autres verres, nous décidâmes de nous rendre dans mon futur.