mercredi 7 août 2013
Genkai Haretsu !
Hide : Misery.
L'été, c'est un peu comme Noël : beaucoup profitent et s'amusent entre deux verres de rosé, trois baisers et 6 heures de soleil; d'autres essayent mais s'ennuient entre deux bouteilles de rosé, trois sites pornos et 6 heures de lumière artificielle.
Rester au boulot, ne pas avoir assez d'argent pour partir, devoir quitter son amour de camping, devoir larguer son amour de dortoir à la fin de la colonie de vacances, ne pas pouvoir organiser de soirée fondue ou raclette, tomber malade, éclater son budget à cause du budget bières fraîches, se prendre un râteau, être seul car tous les amis- souvent en couples- sont partis sans vous inviter, se prendre des râteaux parce que chaleur et minijupes ne veulent pas dire openbar, passer plus de 15 min dans les transports en communs, parce que la route même au soleil vous rappelle qu'elle est dangereuse, parce que Plus belle la vie prend aussi des vacances, devoir garder le chien de votre sœur partie en vacances, parce que vous avez fait 8 anniversaires et 3 mariages avant mi-Juillet mais à tous vous n'étiez qu'invité, vous vous rendez-compte que le prix des glaces augmentent avec la chaleur, se rendre compte que les soldes sont finies et que de toutes façons elles étaient moches, etc.
On pourrait trouver mille raisons de ne pas suivre cette euphorie générale mais pourquoi s'en faire ?
Pourquoi se ronger le moral alors qu'il n'y a aucune raison ? A part peut être ne pas faire comme tout le monde, et laissez-moi vous dire que c'est l'idée la plus conne qui puisse exister dans une vie.
L'important dans une vie, ce n'est pas ce qui arrive, c'est comment on fait avec. On peut statufier tant que l'on veut sur l'influence que l'on a sur les événements, les raisons etc. au final, c'est en soi que tout se passe.
Il peut t'arriver la pire des choses ou bien un simple déboire amoureux (oui, je sais que cela t'affecte beaucoup, ami jeune), sans juger de la gravité de chaque, c'est ta vision et ton esprit qui feront tout.
L'illusion marche dans les deux sens; le bonheur, la tristesse, au final il n'y a que toi qui puisse les produire.
Bref, tout ça pour te remonter le moral, ami qui lis se blog - et qui normalement ne dois pas bronzer à la plage ou emballer entre deux caravanes - et te faire profiter de cette chanson. Certes, son appréciation est subjective mais ce n'est pas un blog médiocre donc je te l'impose quand même. Et puis, tu n'es pas obligé d'écouter et encore moins d'aimer, non mais !
Allez, salucofagos !
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