mercredi 2 février 2011

Lucas Grazzi, il dort avec Captain Igloo


Le fait que les histoires de mafia relève de la politique est un fait reconnu (pas la politique publique mais les manoeuvres politiciennes bien sûr). Mais cette petite introduction n'a rien à voir avec l'article, c'est juste parce que votre fidèle serviteur regarde un film de mafieux ("Proxy War" Kinji Fukasaku; 1973).
Ceci dit, faisons donc un petit scénario politique, qui bien sûr ressemblera à un film mafieux mais sans mort; enfin espérons-le.
Alors commençons avec Michèle Alliot-Marie (dit: "la gourdasse") et la Tunisie: une situation grave dans une région déjà fragile. Une ministre qui avait jusque là toujours gardé une bonne image publique et qui propose à un dictateur chancelant 'le savoir faire français en termes de maintien de l'ordre". Les électeurs connaissent bien se savoir faire: gégène, Bigeard, Darnand, lettres anonymes, etc. Malheureusement, la délicatesse et la bien séance orientale ne sont plus ce qu'ils étaient et l'affable dictateur refuse cette aide généreuse et désintéressé en partant en exil. De plus, "gourdasse" désavoue avec beaucoup de mauvaise foi sa proposition, tout en oubliant avoir été dans l'avion d'un ami du méchant en exil.
Sarkozy (parrain de la ville de France), qui ne sanctionne ni "gourdasse", ni Hortefeux (dit "Bribri grosse mandale") qui a été jugé et condamner pour injures raciales par de fois, les garde donc près de lui contre tout honneur mafieux.
Ainsi les capo de Sarkozy (tous membres du groupe UMP) vont se détacher (par exemple: Coppé "Chien fou") et entamer une guerre de succession; L'empire de Sarkozy va devenir aussi morcelé que la gauche (famille mafieuse rivale de la ville France) depuis 20 ans.
Une vie politique éparpillée qui ne se jouera plus qu'avec des petits parti et qui, du coup, feront un plus grand nombre de mécontents que d'heureux (qui voteront pour eux). Du coup, une armada d'alliances en tous genres, mais ils se battront comme des chiffonniers pour la moindre miette et l'instabilité régnera.
Une refonte devra se faire au niveau de la constitution; le pouvoir autoritaire du président de la cinquième république devra passer à autre chose.

C'est beau quand même! On vit dans un mélange de Parrain (la trilogie) et de Seigneur des anneaux.

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