"Lord McCrashley est pendu dans ma chambre!"; "On m'a dépendu mon pendu, je veux que l'on me le repende!"
Eh oui, Fantomas contre Scotland Yard (troisième et dernier volet des aventures de Fandor et Juve contre le génie du crime) reste une bonne petite comédie française avec le label De Funes.
Cette fois, Fantomas sévit en Écosse entraînant donc dans son sillage le journaliste et le commissaire sur ses pas. Oui, je ne cite pas la compagne photographe de Fandor car, dans celui-là plus que dans les autres films, elle est une parfaite potiche.
Le film repose toujours sur le tandem Funes/Marais: Jean Marais continue de nous offrir une belle prestation, quoique que l'on sent poindre une certaine fatigue; un Funes plus en forme que jamais qui nous offre une avalanche de cris, de gesticulations et de grimaces.
Bon il faut reconnaître que le film a un peu vieilli: stock shots mal intégrés, décors carton-pâte, mais loin d'être repoussant cela donne une bonne petite patine au film pour ceux que cela ne révulse pas.
Après, je note tout de même un scénario moins passionant et rocambolesque que les deux précédentes pellicules, mais le minimum vital est présent et surtout le principal interêt réside en Funes, son assitant et leurs répliques (sans oublier Albert/Walter).
Eh oui, Fantomas contre Scotland Yard (troisième et dernier volet des aventures de Fandor et Juve contre le génie du crime) reste une bonne petite comédie française avec le label De Funes.
Cette fois, Fantomas sévit en Écosse entraînant donc dans son sillage le journaliste et le commissaire sur ses pas. Oui, je ne cite pas la compagne photographe de Fandor car, dans celui-là plus que dans les autres films, elle est une parfaite potiche.
Le film repose toujours sur le tandem Funes/Marais: Jean Marais continue de nous offrir une belle prestation, quoique que l'on sent poindre une certaine fatigue; un Funes plus en forme que jamais qui nous offre une avalanche de cris, de gesticulations et de grimaces.
Bon il faut reconnaître que le film a un peu vieilli: stock shots mal intégrés, décors carton-pâte, mais loin d'être repoussant cela donne une bonne petite patine au film pour ceux que cela ne révulse pas.
Après, je note tout de même un scénario moins passionant et rocambolesque que les deux précédentes pellicules, mais le minimum vital est présent et surtout le principal interêt réside en Funes, son assitant et leurs répliques (sans oublier Albert/Walter).
1 commentaire:
- C'est Walter?
- Non monsieur Albert...
je t'aurai Fantomas!
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