On oublie toujours les méchants dans les histoires et encore plus au cinéma. On trouve toujours le méchants à une place subalterne (celle du méchant justement, comme par hasard!) et l'histoire reste centré sur un ou des héros, qui pour la plupart du temps sont un couple d'amoureux idiots, un imbécile heureux et j'en passe.
Dans les récits et films d'horreurs se sont d'ailleurs eux qui sont les vedettes (Freddy,Saw, Jason etc.) et dans la plupart des cas les personnages les plus travaillés; les héros de basiques idiots prêt à servir de victime.
C'est pourquoi beaucoup d'histoires font des méchants les héros (Dr Phibes, Hannibal etc.), car ils écrasent les héros. Un méchant qui est juste méchant c'est bon pour les contes de fées; le méchant se doit d'avoir des raisons, un passé; il peut avoir plusieurs degrés de méchanceté, tout comme il peut aussi être drôle, sadique etc. Un héros reste quelqu'un de foncièrement gentil ce qui ne lui confère que peu de relief par rapport au méchant qui peut être mille fois plus compliqué. Combien d'acteurs ont déclaré qu'ils ont toujours préféré jouer les méchants au cours de leurs carrières.
On peut même dire qu'au final cette complexité de la méchanceté représente le mal que l'on connaît dans nos vies: il porte plusieurs visages, alors que le bien se défini en peu de chose. Un peu comme si on voulait nous dire qu'être bon c'est être simple.
Dans les récits et films d'horreurs se sont d'ailleurs eux qui sont les vedettes (Freddy,Saw, Jason etc.) et dans la plupart des cas les personnages les plus travaillés; les héros de basiques idiots prêt à servir de victime.
C'est pourquoi beaucoup d'histoires font des méchants les héros (Dr Phibes, Hannibal etc.), car ils écrasent les héros. Un méchant qui est juste méchant c'est bon pour les contes de fées; le méchant se doit d'avoir des raisons, un passé; il peut avoir plusieurs degrés de méchanceté, tout comme il peut aussi être drôle, sadique etc. Un héros reste quelqu'un de foncièrement gentil ce qui ne lui confère que peu de relief par rapport au méchant qui peut être mille fois plus compliqué. Combien d'acteurs ont déclaré qu'ils ont toujours préféré jouer les méchants au cours de leurs carrières.
On peut même dire qu'au final cette complexité de la méchanceté représente le mal que l'on connaît dans nos vies: il porte plusieurs visages, alors que le bien se défini en peu de chose. Un peu comme si on voulait nous dire qu'être bon c'est être simple.
2 commentaires:
Mon méchant préféré : l'Empereur, dans le Retour du Jedi. Il a la classe.
Le méchant torturé par excellence :
Le ravisseur de Oh Dae-su dans "Old boy".
Le parfait monstre qui transforme sa culpabilité et ses démons en une vengeance obsessionnelle, aussi cruel que raffiné sur un type insignifiant.
Le cas psy dans toute sa hideuse splendeur machiavélique.
Enregistrer un commentaire