Il fut un temps où j'étais jeune, eh oui mes braves gens! Et durant cette période il y eut une chose qui marqua ces années au fer rouge de la geek-attitude: Final Fantasy VII.
Pour beaucoup ce fut le premier FF de leurs vies. Surement un des premiers RPG de qualité sur Playstation1. Mais encore plus que ça, c'était des graphismes qui à l'époque défiaient tout (comme chaque FF depuis).
Ainsi la plupart des joueurs ont découvert le RPG: rester des heures sur une partie où l'on est plongé dans une histoire aux multiples retournements et détails qui fini généralement par la découverte complète du monde (voir même au-delà) et le sauvetage de ce dernier.
FF VII mélait réflexion écologique, mystique, histoires d'amours (ah la grande roue du Golden Saucer!), de manipulation par le pouvoir, le tout avec des combats et de l'aventure à tous les coins de rues. En plus on pouvait jouer à une palanquée de mini-jeux à l'intérieur du principal.
Bon il faut reconnaître que pour beaucoup la glorification de FF VII tient de la nostalgie, tellement ce jeux a marqué l'histoire des jeux vidéos. Essayez un peu de faire jouer deux, trois adolescents prépubères! Ils vous regarderont avec de gros yeux de mérou avant de vous dire que vous n'êtes qu'un has-been qui n'y connaît rien.
Quand on est un nostalgique de ces années là, rien que d'entendre quelques notes de la bande-son et on fredonne et frissonne.
Expliquer Final Fantasy VII n'est pas aisé car c'est une expérience, c'est quelque chose qui est au-delà des mots pour les vieux comme moi.
Pour beaucoup ce fut le premier FF de leurs vies. Surement un des premiers RPG de qualité sur Playstation1. Mais encore plus que ça, c'était des graphismes qui à l'époque défiaient tout (comme chaque FF depuis).
Ainsi la plupart des joueurs ont découvert le RPG: rester des heures sur une partie où l'on est plongé dans une histoire aux multiples retournements et détails qui fini généralement par la découverte complète du monde (voir même au-delà) et le sauvetage de ce dernier.
FF VII mélait réflexion écologique, mystique, histoires d'amours (ah la grande roue du Golden Saucer!), de manipulation par le pouvoir, le tout avec des combats et de l'aventure à tous les coins de rues. En plus on pouvait jouer à une palanquée de mini-jeux à l'intérieur du principal.
Bon il faut reconnaître que pour beaucoup la glorification de FF VII tient de la nostalgie, tellement ce jeux a marqué l'histoire des jeux vidéos. Essayez un peu de faire jouer deux, trois adolescents prépubères! Ils vous regarderont avec de gros yeux de mérou avant de vous dire que vous n'êtes qu'un has-been qui n'y connaît rien.
Quand on est un nostalgique de ces années là, rien que d'entendre quelques notes de la bande-son et on fredonne et frissonne.
Expliquer Final Fantasy VII n'est pas aisé car c'est une expérience, c'est quelque chose qui est au-delà des mots pour les vieux comme moi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire