dimanche 9 novembre 2008

Poèmes saisonniers avec bouquet garni.

Personne ne le peut
Maintenant je suis beaucoup moins fringuant.
Tout ça par ton nouveau regard fuyant.
Maintenant je n'ai plus rien à attendre
Et je n'ai plus que toi à inviter.
Peut être que cela sera inespéré
Et que sans delai nous soyons ensemble.
Tu ne le sais peut être pas
Mais au fond de moi, je suis déjà mort.

Le bois de Quat' Sous
Pauvre petit hérisson...
Tu aimerais tant que l'on vienne t'aider
Mais tu te mets en boule et ne te laisses approcher.
Mon pauvre petit hérisson,
Tu dois être bien malheureux
A porter cette solitude dont tu ne veux.

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