lundi 26 mars 2012

Qu'est-ce qui se passe dans la maison?


Il existe un être magique que l'on peut tous trouver sur le pas de sa porte: le gros con.
On peut même le voir dans son salon, mais du coup si vous aimez vous acoquiner avec ce genre de personnes c'est que vous commencer à tomber vers le coté obscur de la connerie.
Mais revenons à nos Ray-ban.

Le gros con: cet homme pédant, te regardant (quand il daigne le faire) avec la hauteur d'un télésiège alpin.
Il porte sur lui toutes les fringues les plus chères et à la mode possible. Malheureusement, le gros con se fait vieux; le blanc frappe sa capillarité temporale, et il a donc sur lui toute la garde-robe d'une classe de cinquième.
Casque de scooter sur le bras et capuche sur son manteau, ba oui on se bouscule pas sur l'autoroute du neurone.
Il téléphone sans les mains, surtout aux WC. Le monde lui appartient, il est le flux vital qui anime l'univers. Dans son esprit difforme, il n'y a rien d'autre. Sa voix, son parfum, sa sueur, il est le trou noir de nos vies: il aspire les regards et les attentions et il redistribue tout jusqu'aux limites physiques de l'univers.
C'est un peu le roi de la terre, écrasant le globe et ses habitants sous ses grosses couilles d'übermâle.
D'ailleurs, cher gros con, tu ne fais pas l'amour, ni ne baises; tu empales, tu soumets et emplis chaque molécules de la gent féminine de ton gros dard et de ta personne si exceptionnelle. L'hymne à ta gloire, tes drapeaux, tes trompettes c'est quand tu t'affirmes face au monde entier en des hectolitres de foutre et en beuglant comme un âne.
Tu es un festival de Cannes à toi tout seul.

Bientôt je parlerais de la Grognasse, le penchant féminin du gros con, et promis je ne parlerai pas de mon ex, ou alors je ne le dirai pas.

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