Le vent heurte les hauts bâtiments, et comme il ne peut s'échapper tout droit comme il le voudrait, il se courbe brusquement comme un éclair et fond en diagonale sur les pavés.
Sôseki. «Un doux rêve». Petits contes de printemps ('«Atatakai Yume». Eijitsu Shôhin); Piquier poche, 2003; p 55.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire