Si vous fouillez un peu en arrière j'avais fait un article sur les élections étudiantes en Angleterre, où tout le monde s'y lançait avec passion; et cela pour une simple élection du BDE (voir l'article pour plus de détails).
Pour celui-ci, ça sera sur la remise des diplômes. Vous savez vous avez déjà vu ça dans les films: d'étranges chapeaux, une espèce de bure aux couleurs de l'établissement sur les épaules, une cérémonie encore plus solennelle qu'une messe de minuit à Saint-Pierre de Rome, les lancés de chapeaux etc.
On n'a pas ça dans notre belle contrée (et non je ne dirai pas "et pas n'importe laquelle! Celle du Général de Gaulle!). En fait, on s'en fout totalement. Lorsqu'on obtient le bac il y a bien que nos mères et grands-mères pour s'en préoccuper et nous donner 20 euros de récompense dans une petite enveloppe, accompagné d'un petit mot de félicitations. La licence? N'en parlons même pas: les parents te félicitent au téléphone entre deux "Ça va tu manges bien?" et "Tu as du linge à laver?"; et surtout la fac affiche le résultat dans des couloirs vides pour cause de vacances d'été et te donne le papier quelques mois après comme l'employé anonyme d'Auchan vous donne le ticket de caisse que vous jetterez dans quelques minutes.
Bien sur cela rejoint ce que j'exposais dans l'article: deux systèmes complètement opposés. En Grand-Bretagne ce n'est pas tout le monde qui va à l'université (3000 euros l'année), et les campus sont de vrais villes dans la ville: on reste entre amis toute la journée dans des endroits conviviaux comme les bars, cafétérias etc. En France, on rentre (quand on y va) on sort, une clope, un café, merci au revoir M'sieur dames.
Pour celui-ci, ça sera sur la remise des diplômes. Vous savez vous avez déjà vu ça dans les films: d'étranges chapeaux, une espèce de bure aux couleurs de l'établissement sur les épaules, une cérémonie encore plus solennelle qu'une messe de minuit à Saint-Pierre de Rome, les lancés de chapeaux etc.
On n'a pas ça dans notre belle contrée (et non je ne dirai pas "et pas n'importe laquelle! Celle du Général de Gaulle!). En fait, on s'en fout totalement. Lorsqu'on obtient le bac il y a bien que nos mères et grands-mères pour s'en préoccuper et nous donner 20 euros de récompense dans une petite enveloppe, accompagné d'un petit mot de félicitations. La licence? N'en parlons même pas: les parents te félicitent au téléphone entre deux "Ça va tu manges bien?" et "Tu as du linge à laver?"; et surtout la fac affiche le résultat dans des couloirs vides pour cause de vacances d'été et te donne le papier quelques mois après comme l'employé anonyme d'Auchan vous donne le ticket de caisse que vous jetterez dans quelques minutes.
Bien sur cela rejoint ce que j'exposais dans l'article: deux systèmes complètement opposés. En Grand-Bretagne ce n'est pas tout le monde qui va à l'université (3000 euros l'année), et les campus sont de vrais villes dans la ville: on reste entre amis toute la journée dans des endroits conviviaux comme les bars, cafétérias etc. En France, on rentre (quand on y va) on sort, une clope, un café, merci au revoir M'sieur dames.
Pour la cérémonie de remise des diplômes, toute la famille vient, tout les amis, et tous mitraillent ça de photos; tout le monde est sur son trente-et-un; tout le monde est fier des diplômés, les parents surtout.
C'est une cérémonie qui s'intègre dans une vie tout comme le mariage etc. C'est en quelque sorte la cérémonie qui marque la fin de l'adolescence et donc de la véritable entré dans le monde adulte et le monde du travail.
Quel bonheur cela serait si on avait ça en France (et en Navarre), mais il faudrait donc rendre les universités élitistes (surtout vénales) et les refaire (avec de vrais campus et tout et tout.
Peut être seuls les étudiants en écoles de commerce et grandes écoles peuvent comprendre... C'est bien dommage.
C'est une cérémonie qui s'intègre dans une vie tout comme le mariage etc. C'est en quelque sorte la cérémonie qui marque la fin de l'adolescence et donc de la véritable entré dans le monde adulte et le monde du travail.
Quel bonheur cela serait si on avait ça en France (et en Navarre), mais il faudrait donc rendre les universités élitistes (surtout vénales) et les refaire (avec de vrais campus et tout et tout.
Peut être seuls les étudiants en écoles de commerce et grandes écoles peuvent comprendre... C'est bien dommage.
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