Ah, Sucker Punch!
On peut dire qu'il a été attendu celui-là. Après une Armée des morts jouissive, un 300 orgasmique et un Watchmen façon partouze au festival de Cannes entre putes et champagne, Zack Snyder se devait de nous faire rêver.
Il y a un an, les artworks préparatoires sortirent; ce sont ceux que vous pouvez voir actuellement. De belles jeunes filles, des pouvoirs et tout et tout, bref un intérêt certain pour le projet s'éveilla.
Et un jour la sortie en salles arriva!
Ah, ça pour être beau, c'est beau! Tout est réglé au millimètres, les images sont léchées et les effets spéciaux superbes.
Mais voilà, cela s'arrête là!
Des actrices un peu sexy, certes, mais bon ce ne sont pas non plus de super canons; surtout l'héroïne qui a l'air de chouiner du début à la fin comme un pauvre cocker dans un restaurant chinois.
Les actrices n'expriment pas un large panel d'émotion à part: 'j'ai peur' et 'je cours tout le monde voit ma culotte, mais je m'en fous!'. L'acteur principal joue plutôt bien et justement se démarque des jeux mollassons des demoiselles, mais son personnage n'est pas à la hauteur tellement il est fade et caricatural.
Car oui, les personnages sont des nuls! Les psychologies et personnalités ont été ébauché sur un emballage Carambar. Pour dire, la scène la plus poignante est celle de la mort d'un dragon...
Donc ça c'est dit, mais y'a pire comme le développement et l'intérêt du scénariste pour ses personnages est nul, on se fiche tout au long du film de ce qui va advenir d'eux. Aucune tension, ni empathie, nous suivons l'histoire comme on suit une feuille morte soulevée par le vent du regard (et encore, ça c'est poétique).
D'ailleurs, Snyder également ne semble porter aucun intérêt pour les personnages et reporte tout sur les effets spéciaux et de caméra.
Tout comme votre copine couche avec vous après 6 mois de relation parce qu'elle veut un sac ou une robe, Snyder vient relever notre ennui par des scènes d'action avec explosions bullet-time et montrage de petites culottes, toujours au ralenti (forcément!).
Des scènes impressionnantes mais très répétitives et qui n'arrive pas à étayer un scénario bancal, déjà-vu et totalement sans intérêt. Pour vous dire on connaît déjà la fin dès le premier 1/4 d'heure.
En fait, le film est un gros loukoum dégoulinant de 'm'as-tu-vu" et boursouflé de passages pour geeks sans liens entre eux. Sucker Punch tient surtout de Magritte que de Hitchcock car ce film n'est pas un film.
On peut dire qu'il a été attendu celui-là. Après une Armée des morts jouissive, un 300 orgasmique et un Watchmen façon partouze au festival de Cannes entre putes et champagne, Zack Snyder se devait de nous faire rêver.
Il y a un an, les artworks préparatoires sortirent; ce sont ceux que vous pouvez voir actuellement. De belles jeunes filles, des pouvoirs et tout et tout, bref un intérêt certain pour le projet s'éveilla.
Et un jour la sortie en salles arriva!
Ah, ça pour être beau, c'est beau! Tout est réglé au millimètres, les images sont léchées et les effets spéciaux superbes.
Mais voilà, cela s'arrête là!
Des actrices un peu sexy, certes, mais bon ce ne sont pas non plus de super canons; surtout l'héroïne qui a l'air de chouiner du début à la fin comme un pauvre cocker dans un restaurant chinois.
Les actrices n'expriment pas un large panel d'émotion à part: 'j'ai peur' et 'je cours tout le monde voit ma culotte, mais je m'en fous!'. L'acteur principal joue plutôt bien et justement se démarque des jeux mollassons des demoiselles, mais son personnage n'est pas à la hauteur tellement il est fade et caricatural.
Car oui, les personnages sont des nuls! Les psychologies et personnalités ont été ébauché sur un emballage Carambar. Pour dire, la scène la plus poignante est celle de la mort d'un dragon...
Donc ça c'est dit, mais y'a pire comme le développement et l'intérêt du scénariste pour ses personnages est nul, on se fiche tout au long du film de ce qui va advenir d'eux. Aucune tension, ni empathie, nous suivons l'histoire comme on suit une feuille morte soulevée par le vent du regard (et encore, ça c'est poétique).
D'ailleurs, Snyder également ne semble porter aucun intérêt pour les personnages et reporte tout sur les effets spéciaux et de caméra.
Tout comme votre copine couche avec vous après 6 mois de relation parce qu'elle veut un sac ou une robe, Snyder vient relever notre ennui par des scènes d'action avec explosions bullet-time et montrage de petites culottes, toujours au ralenti (forcément!).
Des scènes impressionnantes mais très répétitives et qui n'arrive pas à étayer un scénario bancal, déjà-vu et totalement sans intérêt. Pour vous dire on connaît déjà la fin dès le premier 1/4 d'heure.
En fait, le film est un gros loukoum dégoulinant de 'm'as-tu-vu" et boursouflé de passages pour geeks sans liens entre eux. Sucker Punch tient surtout de Magritte que de Hitchcock car ce film n'est pas un film.
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