jeudi 23 septembre 2010

You could be my girl


En ce moment dans nos esgourdes: du mauvais rap français (pléonasme), de la pop misérable et de la musique électronique. Bien évidemment je parle de musique mainstream que l'on peut subir à tous moments en allumant la radio sur les stations grand public.
En matière de musique électronique, les grands vainqueurs de l'agacement sont David Guetta, Bob Sinclar et Martin Solveig.
Mais ce dernier mérite un certain respect.
Tout d'abord, contrairement aux deux précédent l'homme ne joue pas les super stars d'Ibiza. On ne le voit pas bondissant dans toutes les émissions de mauvais goûts entre starlettes et mauvais acteurs branchés. On en se farci pas non plus sa trogne dans les 3/4 des couloirs du métropolitain souriant comme un benet pour vendre un casque, un CD ou bien une marque de déodorisants herbes de provence pour pantoufles Adidas. M. Solveig lors des interviews se comporte avec humilité et timidité.
Sans parler de sa production musicale, que l'on peut aimer ou non, le bonhomme s'attache à faire à renvoyer une image de bon copain: celui qui est toujours mais qui ne s'affirme que timidement dans un groupe.
Au lieu d'enfoncer des portes ouvertes en critiquant directement David Ghetto et Bob Singer, il m'a semblé plus judicieux de souligner que dans l'electro grand public il y a aussi de bonnes surprises.

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