vendredi 3 septembre 2010

Expendables


Ah quel beau film!
Des têtes d'affiches aussi grosses que leurs biceps.
Une histoire très simple: libérer un peuple (et une bonnasse) des vilains méchants. Mais veut-on aller voir ce film pour la qualité de son histoire.
On y va pour voir du bruit et de la fureur; et pour en avoir il y en a!
Une île de moins d'une centaine de kilomètre carrés: à la fin du film on s'étonne que toute l'île n'ait pas sombré dans l'océan sous le coup des explosions.
Sur cette île, il y a 6 000 habitants: je doute fortement qu'il reste quelques autochtones à la fin du film aux vues du massacre général de la scène finale. En tous les cas, il n'y a plus de force de l'ordre et représentants du gouvernement local.
Et comme dans tous les grands films, il y a une grande scène finale, imaginez donc: grosso modo 30 minutes de baston, fusillades, festival de gros fusils, explosions tout azimut, bref un vrai festival de Cannes pour vos yeux et oreilles.
Et y'a pas à dire, quand on ressort de la salle, on se sent homme!

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