jeudi 10 novembre 2011

Chapitre XIII; L'interlude à Dudule.


Jack crû qu'en sortant de la pièce, il allait faire une pause avant sa dernière épreuve. Mais, que nenni! Ce fut tout de suite après qu'eut lieu celle-ci.
Une épreuve si terrible que tous les esprits en oublièrent son contenu de peur de s'en souvenir. Vous me direz: ' mais alors, comment est-ce qu'une telle cérémonie peut se faire et donc se perpétuer de générations en générations?" C'est un grand mystère que seuls les initiés, comme Jack désormais, peuvent connaître. Mais il faut noter que cette connaissance est placé dans la zone taboue de la conscience; entre les journées Nutella et le fait d'apprécier Arthur.
Bref, Jack était maintenant devenu un maître ninja-spirito-bouddhiste; Flavia fut libérée, et ainsi Jack coulait des jours tranquilles entre méditation, lecture, amour, repassage et sexe endiablé.
Chaque matin il allait cueillir ses flocons d'avoine dans la boite de céréales, et préparait un petit déjeuner romantique avec thé au beurre de yack/ confiture/ pain noir/ préservatifs/ Malboro et Paris Matin. Après sa toilette post-coïtale matinale, notre bon Jack commençait sa journée de feignasse.
Il aimait lire Dostoïevsky, Goethe, Christopher Moore et Bernard Russo. Comme il adorait les tuniques (de moine) en lin et les dessous en satin et en soie à motifs cachemire, il découvrit les affres de leur repassage. Il aimait également siroter des tequila sunrise sur la terrasse du temple de Tara, ainsi qu'un peu de sexe hardcore dans le placard de la chambre de Flavia ou bien une cravate de notaire sur le toit, face aux éléments, les soirs de tempêtes.
Mais Jack ait encore loin du lycée californien où il travaillera plus tard auprès du jeune nullard has-been Aaron Carter.
Il avait beau passer du bon temps comme un DSK dans un hôtel ou dans des toilettes de restaurant, son véritable destin se présenta à lui quand il reçu des nouvelles de son compagnon de drogue Franz...

Aucun commentaire: