Allez à Montrouge mes petits, vous y verrez non pas "les roustons du vieux Caton" mais Fabio Salsa!
Fabio Salsa, voilà déjà un nom qui fait rêver dans les chaumières. On sent un homme aussi chaud qu'une plage en Sardaigne, aussi sensuel qu'un andalou dansant, et qui serait aussi intéressant et cultivé que Florence ou Rome. Son parfum serait comme la brise se lovant sur les plages opalines des Caraïbes et sa peau aussi sucré que les fruits juteux que l'on y mange.
Mais allons plus loin que ces doux rêves de lycéennes sans culottes.
Sa boutique est à Montrouge (on aura vu plus sexy), et surtout son salon de coiffure (déjà il existe un peu moins les lycéennes et beaucoup plus les gros poilus pervers de backrooms) se nomme dans sa totalité: "Fabio Salsa: totale tendance".
Forcément tout s'écroule en un terrible et bruyant instant. Fabio Salsa n'est plus. Il est aussi chaud qu'un employé chez McDo, aussi sensuel qu'un loukoum suppurant le gras dérrière une vitrine de kébab. Son parfum serait plutôt une aisselle, traitée au déodorant pas cher et evanté depuis 3 ans, sous canicule. Il n'ira jamais plus loin que les plages de Dusseldorf et sa culture se limitera à la page horoscope de Tchoupi magazine, si ce n'est le nom des rues.
Non vraiment Fabio Salsa vaut le coup d'aller être vu.
Fabio Salsa, voilà déjà un nom qui fait rêver dans les chaumières. On sent un homme aussi chaud qu'une plage en Sardaigne, aussi sensuel qu'un andalou dansant, et qui serait aussi intéressant et cultivé que Florence ou Rome. Son parfum serait comme la brise se lovant sur les plages opalines des Caraïbes et sa peau aussi sucré que les fruits juteux que l'on y mange.
Mais allons plus loin que ces doux rêves de lycéennes sans culottes.
Sa boutique est à Montrouge (on aura vu plus sexy), et surtout son salon de coiffure (déjà il existe un peu moins les lycéennes et beaucoup plus les gros poilus pervers de backrooms) se nomme dans sa totalité: "Fabio Salsa: totale tendance".
Forcément tout s'écroule en un terrible et bruyant instant. Fabio Salsa n'est plus. Il est aussi chaud qu'un employé chez McDo, aussi sensuel qu'un loukoum suppurant le gras dérrière une vitrine de kébab. Son parfum serait plutôt une aisselle, traitée au déodorant pas cher et evanté depuis 3 ans, sous canicule. Il n'ira jamais plus loin que les plages de Dusseldorf et sa culture se limitera à la page horoscope de Tchoupi magazine, si ce n'est le nom des rues.
Non vraiment Fabio Salsa vaut le coup d'aller être vu.
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