mercredi 26 novembre 2008

La guerre des roses, où la fin du féodalisme.


Eh bien , c'est toujours la fête façon fête à Neuneu au parti Socialiste. Après le gouvernement féodal Mitterrandiste et ses barons à l'abandons, nous voici en pleine lutte d'égo, en pleine fronde!!!
Que les vieux aristocrates de la rose tombent! Q'un nouveau paysage se fasse enfin une place dans cette institution sclérosée. Malgré les faux semblants d'appaisements, peut être est-ce là, enfin, le tocsin pour la bataille finale. Le Bosworth du socialisme!!!
Les jeunes princes éclairés se déchirent, comme des clients, en faveur de leurs suzerains. Ces même affreux qui non content d'avoir eu main mise sur le parti, l'ont ruiné et continuent de vouloir s'y accrocher tels des touffes de gui sur un arbre moribond.
Beaucoup sont déjà tombés comme La Palice devant Pavie... La vieille garde se meurt. Où sont les Rocards, les Jospins, les Emmanuellis, les Strauss-Khans?
La pietaille des militants engagée dans cette bataille se fait broyer. Azincourt. Azincourt, où la chevalerie et l'aristocratie française tomba face à ces propres abérrations.
Le moyen-age du socialisme prend fin, la renaissance est proche.
Peut importe la victoire des comtés de Flandres ou du Poitou, de cette fronde naitra un nouvel age d'or.
Ainsi donc laissons les fantomes du passé s'échanger des lithographies islandaises au palais de Solférino et restons prêts pour l'avenir.

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